Lettre mensuelle novembre 2018
QUAND C’EST TROP… C’EST TROP PEU
Nous ne devons pas laisser croire que tout progrès scientifique se réduit à des mécanismes, des machines, des engrenages qui, par ailleurs, ont leur beauté propre.
Faire reconnaitre la profession passe d’abord et avant tout par une reconnaissance de l‘enseignement et une validation du contenu du cursus.
Il s’agit bien, dans une première démarche, de la qualité de la formation et de son intégration dans le champ des techniques de santé.
Or, nous avons constaté lors des réunions avec la DIRMECH et les démarches entreprises par cette association, que les propositions se dirigeaient vers une intégration de techniques et de compétences sur le modèle de celui proposé par la République populaire de Chine. Sans porter de jugement sur ce qui se pratique en Chine, nous savons déjà que les législations n’obéissent pas aux mêmes critères que ceux imposés par notre Code de santé publique et que les responsables professionnels ne peuvent les ignorer, ni les contourner.
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